vendredi 29 février 2008
Liberté où es tu ma chérie
Quand on n' a pas confiance en soi, on demande aux autres de vous la transmettre... Donnez moi des voix de droite sinon je tombe... Voilà ce que çà veut dire " ne pas négliger les nombreux libéraux qui ont rejoint les parties de la droite"
"Etre reconnu par la classe politique" est certes une évidence, mais il y a une différence entre être reconnu et intégré, voire phagocyté....
Et puis comment faire confiance à quelqu'un qui vous dit "nous ne savons pas de quoi l'avenir sera fait".
Il y a un proverbe chinois qui dit qu"'il n'y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va........"
Alors que je peux vous assurer qu'avec Sabine, vous savez où vous allez, et si vous ne la savez pas encore car pas encore convaincu, relisez bien son programme en détail, et au delà des lignes, vous verrez que le vent lui est largement favorable.
Je tiens sérieusement à rappeler ce que veut dire le libéralisme et que vous retrouver dans le programme de Sabine:
C'est une doctrine réclamant pour tous la liberté de conscience et d'opinion, d'une doctrine politique qui préconise l'extension et l'affermissement des libertés et des garanties accordées aux citoyens pour les protéger de l'ingérence de l'Etat, de l'arbitraire du gouvernement ou de la contrainte des forces sociales organisées.
Le libéralisme se réfère à la liberté, or la liberté est subordonnée au respect du principe d'égalité en droits, puisqu'elle est assortie dans sa définition même d'une restriction; ART 4 de la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen" la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui"
Vous croyez sérieusement que nous vivons aujourd'hui avec toute cette philosophie et ces principes? Ah que non alors, regardez ceux qui sont au seuil de revenus et qui ne peuvent pas accéder à un autre satut (pour 20 euros de trop) car l'Etat a décidé qu'il en était ainsi. Mais c'est d'une bêtise économique, un non sens humain. Sans ce seuil cette personne, aurait des ailes pour rebondir et créer une PME. Ben non. Elle est bloquée, définitivement. Elle a juste subi une loi arbitraire. Le drame c'est qu'on va trouver çà normal puisque c'est une égalité des droits; FAUX : l'égalité ne se fonde pas sur des critères économiques uniquement mais de potentiel humain; A chacun de trouver sa place dans notre société et pour l'instant l'histoire n'a rien proposé d'autre de mieux que le liberalisme. Chercher vous aurez du mal à trouver.
Alors vous le voyez où est-il le programme libéral chez Aurélien Véron. Moi j'ai beau chercher , je ne trouve pas ou alors il faut lire entre les lignes et à travers. Il ne s'agit que de politique politicienne. rien du fond.
Sabine hérold propose de libérer, la société, l'école, le logement les transports, la sécurité sociale, l'expression et la presse......
Et puis en plus vous allez pouvoir participer, tous, chacun, chacune, mais c'est une occasion unique, on en rêve de pouvoir agir.
POUR UNE SOCIETE OUVERTE, MOINS D ETAT ET PLUS DE LIBERTE.....
N'ayons pas peur de la liberté, elle a un prix certes mais on ne n'en connaît jamais le montant, tellement elle est notre vie même.
suite à ton article sur Sarko sur le bolg d'alain
jeudi 28 février 2008
Eléction du Président et bureau, lettre de soutien (1) de Pascale De Romémont.
Voilà, vous dire tout mon cheminement de pensée libérale serait trop long, mais je fais partie de celles qui ne veulent pas voir une France mal gouvernée parce que gouvernée par des hommes de pouvoir, même petits..., qui bafouent l'essentiel, la liberté.
La liberté d'agir, de pensée, de créer, de parole, de deviser même, de vision ne peut être respectée sans le libéralisme. Il n'y a pas d'avenir sans liberté. Et la France a besoin d'avenir maintenant et la liberté fera le reste comme l'écrit "Alain Génestine".
Sabine, l'a très bien compris et je sais ce qu'elle veut pour la France.
Ceux qui bafouent cette pensée en ne lui réservant que son aspect économique, je ne citerai personne, non rien compris, et qu'ils restent à leur niveau de compréhension ne dérange malheureusement que l'avenir de la France mais pas ceux qui sont convaincus comme Sabine de mettre le bon train en marche.
Une fois le train en marche, grâce à elle, car elle a une vraie vision, nous pourrons voir la destination qui nous est offerte. Prenez le bon train en marche. Vous verrez quand vous pourrez parler à vos enfants de ce que vous faites pour la France, lui rendre ses titres de "noblesse", liberté, égalité, fraternité, " vous saurez que vous aurez bien fait et on sera fier de voir chacun se remettre debout , libre d'être ce qu'il est avec ce qu'il a.
Sabine possède le talent politique allié aux convictions et nous propose à tous d'agir, chacun pourra travailler à faire repartir le train.
Voilà Sabine , je te soutiens pleinement
Merci de ton courage politique
Avec Sabine et son équipe c'est aussi cela : Pour une Université Libérale au sein d’AL
Un parti politique est surtout fort de sa cohérence intellectuelle, de sa capacité à produire des idées et à argumenter pour les défendre. Autrement dit, pour un parti d’idées comme le nôtre, la constitution d’une véritable Université Libérale en son sein est essentielle.
J’ai à plusieurs reprises évoqué ce projet avec des universitaires libéraux de premier plan, tels que Philippe Nataf ou Alain Laurent. Je pense possible d’obtenir le concours de scientifiques, d’experts, de personnalités libérales, en France et à l’étranger, pour nous aider à créer cet outil stratégique.
L’Université au sein d’Alternative Libérale aura deux grandes missions
- Transmettre les idées libérales, former aux enjeux contemporains et expliquer les propositions d’Alternative Libérale
- Imaginer et concevoir de nouvelles idées et préparer en amont les programmes nationaux du parti
A mon sens, cette Université devra donc être dédiée à la transmission et à la réflexion. Elle pourrait avoir les statuts d’une association loi 1901, liée à AL par son objet. Elle pourrait ainsi lever des fonds et gérer son propre budget. Elle devra être dirigée et supervisée par des personnalités libérales scientifiques de premier plan. Elle pourra ainsi publier et relayer les travaux produits en son sein, qui ne seront donc pas seulement diffusés en interne au sein d’AL, mais partout ailleurs : relais scientifiques, et pourquoi pas activités d’éditions.
Elle aura donc vocation à s’adresser non seulement aux militants et cadres d’AL, mais aussi à tout sympathisant ou curieux désireux de mieux comprendre les enjeux de notre pays, et de découvrir, à travers cette Université, le mouvement libéral. Comme toute Université, pour rester créative et ouverte, elle se devra d’être tournée vers l’extérieur.
Très concrètement, cette Université aura, à mon sens, pour premières missions de :
- Mettre en place un calendrier de demi-journées d’intégration aux idées d’AL, en étroite concertation avec l’équipe de suivi des adhérents que je propose de former.
- Mettre en place une Carte des Formations : théories, débats contemporains, grands auteurs. Mais aussi des formations plus pratiques : rhétorique, communication politique, Internet militant, etc.
- Réévaluer le programme d’Alternative Libérale, en vue d’éclairer les débats au sein du Conseil National. Analyser la progression des réformes promises par le gouvernement, pour produire un constat objectif sur ce qui a été fait ou non.
Bien évidemment, si notre bureau est élu, un projet précisé sera élaboré, en concertation avec tous ceux qui souhaiteront prendre part à cette Université Libérale, au sein de notre parti et ailleurs.
Démocratie
Avec un peu de retard je vous communique le site ou vous pourrez lire le programme du deuxième candidat Aurélien Véron.Afin que tous, adhérents et sympatisants vous puissiez faire un choix.
http://aurel.hautetfort.com/files/Profession%20de%20Foi.pdf
Bonne lecture et bon vote
MAM
Prenez-vite contact avec les experts de la WCCL, je suis de droite, mais je me soigne en toute Liberté
Heure : 01 h 21 CET
Auteur : saviorofzeworld@neuf.fr
Etat d'esprit : Anxieux
Pour savoir si vous êtes atteint de l'ECD, faites le test
1) Vous pensez qu'un parti libéral doit être à droite parce que DL était de droite et qu'en France les journalistes pensent que les libéraux sont à droite de la droite. Donc ainsi soit-il, même s'il s'agit là d'une exception culturelle française et d'une aberration historique.
2) Vous vous sentez de droite avant de vous sentir libéral
3) Si une personne vous dit qu'elle est libérale, mais qu'elle ne se sent pas de droite, vous pensez systématiquement qu'elle est de gauche
4) Même si un gouvernement de droite prend des mesures socialistes vous continuez de penser qu'il ne faut pas s'opposer radicalement à lui et le critiquer méchamment, parce qu'il se dit de droite et donc ça excuse tout.
5) Dans le concept de Liberté, votre priorité c'est l'économie, le reste est pour vous non prioritaire
6) Vous préférez ne pas parler des libertés individuelles parce que vous trouvez qu'au niveau de la ligne du parti, ça n'est pas très "clair"
7) Vous pensez au fond de vous-mêmes que la légalisation des drogues des douces est un sujet libéral, mais vous n'en parlerez pas parce que cela ne plait pas à votre électorat, même si cette question relève d'un enjeu sanitaire fondamental
8) Vous n'enverriez pas un communiqué pour dénoncer le fait que Sarkozy est le seul président à avoir félicité chaudement Poutine au lendemain des élections
9) Si pour faire un parti plus populaire, vous devez abandonner le mot "libéral" un jour, cela vous ne gêne pas et, au contraire, vous vous donnez bonne conscience en vous disant que c'est une ruse pour mieux faire passer vos mesures... (on sait comment cela finit)
10) Si un jour, arrivé Ministre ou secrétaire d'Etat, votre président vous dit que l'interventionnisme économique et le blocage des prix c'est bien, vous êtes prêt à oublier que vous avez été libéral pour la bonne cause
11) Vous aimez opposer Paris à la province, les pros aux amateurs, les plateaux de télé à la France profonde, l'égérie de partie politique à la militante laborieuse, le travail au capital... en fait en creusant un petit peu, votre programme c'est la lutte des classes
12) Vous pensez que pour être au bureau d'Alternative Libérale, il faut, pour faire sérieux, être au minimum, banquier, pharmacien, avocat, ou, au grand minimum, étudiant en droit
13) Une fois que vous serez au pouvoirvous remplacerez la violette du logo d'AL par un joli aileron de requin bleu acier
14) Question subsidiaire: vous venez de vous apercevoir que votre projet était déjà défendu par les réformateurs de l'UMP et par conséquent, il ne vous reste plus qu'à prendre votre carte. La prenez-vous ?
Si vous répondez oui à toutes ces questions, vous êtes ECD +
Prenez-vite contact avec les experts de la WCCL
Rappel: La WCCL est garante du respect du libéralisme authentique. C'est en ce sens qu'elle condamne le risque d'ECD qui se traduit par le positionnement à droite d'un parti libéral. De le même manière elle surveille le risque d'ECG qui entraînerait le positionnement à gauche de ce même parti. Aussi, elle mettra dans les prochains jours en place un test de détection de l'ECG.
mardi 26 février 2008
Sabine Hérold et son équipe: Pour gérer Alternative Libérale – Aspects pratiques
De nombreuses questions m'ont été posées depuis le début de la campagne. J'ai déjà répondu à la majorité d'entre elles dans mon document de programme.
Je vais dans les jours qui viennent apporter des compléments d'information.
Voici le premier thème qu'il me semble important d'aborder : "comment gérer Alternative Libérale ?"
Voilà une vaste question, à laquelle je souhaiterais répondre avant toute chose. En effet, si je suis connue pour être une militante très active, une responsable de comité et porte parole, diriger un parti comme Alternative Libérale est une tout autre forme de responsabilité. D’autant plus importante que nous aurons, dans les prochaines années, une grande ambition pour notre mouvement.
Alors, comment gérer ce parti ?
Je répondrai à deux niveaux : pratique et politique. Dans une organisation comme un parti, où l’image et l’actualité sont le cœur du « métier », ces deux aspects sont en effet indissociables.
Etant donné que ma réponse est un peu longue, je la publierai sur deux jours. Je commencerai par les questions pratiques.
Comment gérer Alternative Libérale : aspects pratiques.
Pour diriger un parti politique, la clef est l’organisation. Il est absolument illusoire de prétendre diriger seul un mouvement de près d’un millier d’adhérent et de centaines de cadres, partout en France avec une poignée de personnes. Choisir les co-équipiers du bureau pour encadrer ne suffit pas, très loin s’en faut, à suivre efficacement une organisation de cette taille et de cette complexité. Sur un plan éthique, d’ailleurs, nous serions de biens mauvais libéraux si nous n’étions pas naturellement méfiants de cette tendance au pouvoir personnel qui en réalité mène toute organisation (ou tout gouvernement, suivez mon regard), à sa ruine.
Avec le bureau, nous mettrons donc une politique d’organisation basée sur trois piliers :
1 / Une équipe étoffée dédiée au suivi individuel des adhérents
Les Français se démobilisent des syndicats, des partis, et sont mêmes moins fidèles à leurs entreprises. Pourquoi ? Parce que l’individu contemporain, bien informé, très bien éduqué et conscient de ses responsabilités accepte de moins en moins bien le moule d’organisations trop rigides, anonymes, où il n’aurait aucune voix au chapitre. Il l’accepte avec d’autant plus de difficultés que ces organisations portent un message politique / idéologique, qui l’implique énormément en tant que personne. C’est pourquoi je crois qu’il faut revoir complètement la façon dont on gère un nouvel, ancien, ex et futur adhérent dans un parti politique. Il faut passer d’un suivi collectif à un suivi individuel. Ne plus parler organigramme, fonction, mais parcours individuel, aspirations personnelles. Ne plus réfléchir en terme de base de donnée, de mailing, de « masses », mais de personnes. Et ce n’est pas seulement une question éthique, c’est surtout une question d’efficacité.
Pour ce faire, je propose de mettre en place une équipe renforcée, dédiée à l’accueil des nouveaux adhérents, à la compréhension des mobiles de leurs adhésion (ce qui nous instruira utilement pour notre développement), à la gestion individuelle de leur implication dans le mouvement, puis à leur suivi individuel dans le temps.
Cette équipe se chargera de désigner des « parrains » aux nouveaux adhérents, pour faciliter leur intégration dans le mouvement. Quand quelqu’un arrive et demande « que faire », il doit immédiatement se voir offrir des possibilités concrètes d’action. Puis, quelque temps plus tard, se voir consulté sur sa satisfaction, conseillé dans ses choix, etc.
Que l’adhérent souhaite ou pas s’impliquer, sa consultation régulière est une source précieuse d’information pour le parti. Comment est perçue la ligne ? Que faudrait-il faire ? L’adhérent, ainsi écouté, est mieux fidélisé, et peut être même impliqué, notamment en période électorale, dans l’action, le recrutement. Les adhérents, dans un parti qui en compte un millier, sont souvent esseulés (sauf dans les grandes villes) : ce lien régulier avec le mouvement est donc essentiel.
Le parti offrira régulièrement des services aux adhérents : le premier d’entre eux, une Université Libérale, dont je vous reparlerai, qui proposera régulièrement des sessions de formations aux idées libérales, des débats sur l’actualité, etc.
Comme autres services, nous pourrions imaginer la mise en place d’outils dédiés aux adhérents, pour qu’ils puissent agir au niveau individuel, sans compromettre l’agenda souvent chargé de leur vie familiale et professionnelle. Un tel « Kit de l’adhérent », lui indiquerait comment organiser une réunion d’appartement pour présenter AL, agir sur Internet de façon autonome, mobiliser des sympathisants, convaincre sur des argumentaires ciblés, etc.
Voilà une révolution pour notre mouvement, qu’aucun autre parti n’aura imaginé avant nous : délocaliser la marque et l’initiative AL au niveau de chaque adhérent. Et faire de chaque adhérent une vraie force de proposition dans le mouvement. Un adhérent, un volontaire, est la seule vraie richesse de notre mouvement.
2 / Un Comité d’Orientation organisé en pôles
Composé de 20 à 25 personnes, il sera constitué en grands pôles d’actions, qui ne seront pas plus de 8, de telle sorte que chaque pôle soit suivi par au moins trois responsables. Parmi ces pôles futurs, on imagine aisément un pôle Fédération, très renforcé, pour aider les comités locaux à se former et à se développer, notamment dans les premières semaines de leur constitution. Mais aussi un pôle relations extérieures, pour tout ce qui concerne nos partenariats avec des acteurs de la société civile, en France et à l’étranger (associations, think-tanks, etc). On imagine enfin des pôles pour la communication militante, les médias, la préparation des élections, la recherche de financements, la formation.
Je me permets d’insister sur ces deux derniers points. Alternative Libérale a besoin d’accélérer sa recherche de fonds de façon cruciale : notre mouvement n’ayant pas réussi à atteindre les seuils électoraux nécessaires au financement public, la levée de fonds privés sera sa seule ressource.
La formation, enfin, est une activité essentielle, voire vitale. Je regrette que le précédent bureau l’ait délaissée. Je reviendrai sur ces deux points plus tard tant ils sont essentiels.
Ce comité d’orientation sera consulté pour toutes actions et décisions : il sera la cellule de base de l’action, au niveau national, du parti. En revanche, à la différence du passé, il devra absolument soumettre toute décision « stratégique » au Conseil National, Parlement du parti et en charge de la réflexion
3 / Un Contrat de mission avec les Comités locaux
Si nous voulons devenir un grand parti politique, il nous faut un contact étroit avec les comités locaux d’AL, partout en France, qui représentent le parti sur le terrain. Jusqu’à présent, la relation a surtout fonctionné du parti vers les Comités. Il est temps que les Comités prennent le pouvoir. Comment faire ? Leur donner une véritable autonomie financière d’une part, bien entendu (je propose 40 % des cotisations perçues localement), mais surtout, de réels objectifs : une véritable responsabilité dans notre mouvement.
Ces objectifs seront définis comité par comité et validés collectivement, lors de Réunions annuelles qui rassembleront tous les cadres. Ils porteront sur le nombre d’adhérents, les objectifs électoraux (nombre de candidat, % des voix visé, nombre d’élus), les objectifs de visibilité (passages médias générés, visibilité des sites des Comités Locaux). Autrement dit, chaque Comité aura sa « feuille de route », adaptée à sa taille. Il sera en droit d’exiger du parti les moyens nécessaires à l’accomplissement des objectifs fixés ensemble. En retour, le parti comptera sur ses comités pour accomplir leurs missions. C’est une toute autre vision que celle qui a prévalu jusqu’à présent dans AL : un vrai contrat de partenariat entre le parti national et le parti local, dans l’esprit d’une « franchise » où la marque AL est à saisir et à développer, en échange de moyens contre une vraie responsabilité assumée. Voilà qui devrait stimuler tout le monde et nous permettre un développement rapide.
Second point que j’aborde aujourd’hui : comment gérer, politiquement, un parti comme AL ?
L’organisation est une chose, mais la vie politique d’un parti en est une autre, encore plus complexe. Et même si l’organisation et les statuts permettent d’organiser le partage de l’information et la prise de décision collective, cela ne fait pas tout : encore faut-il savoir comment on gère la parole politique.
Pour gérer cette parole et les positions du mouvement, je propose une tactique en trois points :
- Distinguer, pour chaque action et position, le Jeu de l’Enjeu
- L’actualité est notre matière première
- Maintenir le parti sous « tension électorale »
1 / Distinguer le Jeu de l’Enjeu : pour un Comité des sages
Un parti politique gère sa parole à deux niveaux : le Jeu et l’Enjeu.
Le Jeu, c’est la parole classique, courante, habituelle du mouvement, celle qui ne surprend pas. Le Jeu, c’est un communiqué de presse qu’on publie en réaction, par exemple, à la création d’un nouvel impôt (imaginons le pour financer France 2 par exemple…) : par principe, les libéraux réagissent en bloc sur la question. Pas de surprise, mais une bonne opportunité de communiquer et faire savoir notre position.
L’Enjeu, c’est une parole qui engage les « fondamentaux » de notre mouvement. C'est-à-dire ses principes fondateurs, le socle de son programme, ou bien sa stratégie d’alliance.
Toute la complexité de la prise de parole est de distinguer la communication de Jeu des prises de positions qui sont des Enjeux pour le mouvement. Derrière une réaction à l’actualité, un communiqué de presse, une annonce publique, peuvent en réalité se trouver des enjeux / questions essentielles pour la cohésion de notre mouvement et son projet.
Il faut regretter que les deux précédents bureaux aient méconnu cette différence entre un communiqué de « Jeu », qui ne posera de questions à personne, et une position stratégique. Par exemple, l’annonce de l’alliance d’Aurélien Véron, Président d’AL, avec le Nouveau Centre à Paris, n’était pas du Jeu, mais de l’Enjeu : quand un président de parti politique s’affiche avec un autre parti, il n’est plus dans l’habituel, mais dans le stratégique.
Dans le même ordre d’esprit, l’annonce du soutien à Bayrou a été une dramatique erreur de communication interne : la façon dont la nouvelle a été annoncée aux responsables locaux par le bureau d’Edouard Fillias, rétrospectivement, a été perçu comme une atteinte au « contrat moral » qui liait les adhérents, car cette alliance avait des conséquences importantes, très stratégiques, sur l’image du mouvement.
Le problème de ce distingo, qui peut sembler simple sur le papier, est qu’il ne l’est pas du tout en réalité dans le feu de l’action, dans un contexte d’urgence (il « faut » réagir vite). Ce qui semblait naturel à Edouard ou Aurélien ne l’était en réalité pas du tout : ils n’avaient pas perçus les Enjeux de leurs prises de positions. Ils se sont ainsi coupés de l’intérieur du parti, où leur parole perdait de sa cohérence, et donc, finalement, de sa force à l’extérieure. L’alliance avec Bayrou a capoté et Aurélien ne s’est pas allié au Nouveau Centre…
Pour éviter ces erreurs du passé, je propose de mettre en place un « Comité des sages » pour lire toutes les positions d’AL (communiqué, articles, etc), d’au moins 5 personnes (pour parer aux absences ou indisponibilités éventuelles), dont la composition sera débattue entre le Conseil National et le bureau. Ce comité donnera des avis motivés au bureau sur l’importance de telle ou telle position : est-ce du Jeu ou de l’Enjeu ? Et le bureau pourra ainsi décider, éclairés par leur analyse, d’organiser une information ou un débat plus large en interne.
Voilà un premier « garde-fou » pour que notre parole publique soit cohérente et aussi forte en interne qu’en externe.
2 / L’actualité est notre matière première : utilisons la pour proposer nos idées
Un parti politique vit de l’actualité. Je me propose en tant que future présidente, d’organiser notre « hyper-réactivité » à l’actualité, grâce à une cellule médias – relations presse étoffée et une équipe de porte-parole spécialisés par thématiques (économie / internationale / libertés individuelles, etc.). Chaque évènement important et significatif doit trouver un écho chez nous, et nous devons aussi apprendre à mieux utiliser l’actualité pour avancer nos propositions.
Je propose de fixer à ce bureau une règle : un communiqué par semaine au moins, et autant de communiqués que l’actualité majeure le nécessite. Je fixerai moi-même des délais de publication pour chaque communiqué, intégrant le nécessaire temps de relecture (par le Comité des sages notamment). Pour les évènements majeurs, nous réfléchirons autant que possible à la mise en place d’actions militantes (tractages, opérations de visibilité, etc.)
Je propose une deuxième règle, pour nous assurer que chaque communiqué soit constructif et utile : pour chaque réaction que nous lancerons, avancer au moins une proposition. Autrement dit, ne jamais publier un communiqué sans au moins une proposition concrète.
3 / Maintenir le parti sous « Tension électorale »
Notre parti n’a jamais été aussi actif et fort que dans la perspective des élections présidentielles et législatives de 2007. Nous avons manqué l’échéance des municipales à Paris et été incapables d’apporter un soutien efficaces aux candidats en région : pourquoi ? Parce que le précédent bureau n’avait pas placé le « parti sous tension électorale ».
Un parti, en effet, a deux finalités : défendre sa vision de la société et ses solutions, mais aussi obtenir des élus. Ces deux objectifs sont étroitement liés. Un parti sans élu ne sera pas longtemps crédible pour défendre ses idées.
Aussi ne faut-il jamais perdre de vue les échéances électorales, comme nous l’avons fait pour les municipales. Mettre sous tension le parti, cela veut dire rappeler à chaque instant l’objectif en nombre de candidatures et de résultats qui sera le nôtre aux prochaines échéances (en l’occurrence, nous nous sommes « réveillés » en décembre pour les municipales…), et préparer tous les plannings du mouvement (levées de fonds, communication, organisation interne) avec pour seule finalité les prochaines échéances.
Autrement dit, si le bureau que nous présentons est choisi, nous organiserons AL pour les élections européennes. Ce sera notre premier et principal objectif, et toutes nos actions seront passées au filtre de l’efficacité pour ces prochaines élections, où nous avons une chance raisonnable d’obtenir un ou deux élus.
Mon objectif, en tant que présidente, sera de ne plus jamais manquer une seule échéance électorale : elles sont nos « rendez-vous » avec les Français. Nous nous construirons sur la durée en nous préparant collectivement, élection après élection. Et quand je dis « nous », je ne dis pas seulement « moi » : c’est l’affaire de toute notre organisation. Il ne sert à rien que le président ou quelques cadres se présentent, si, derrière, le parti ne s’est pas organisé pour peser dans le débat. Comme le rappelle notre Constitution dans son article 4, ce sont les partis qui organisent la vie démocratique : ne manquons plus une occasion de jouer ensemble ce rôle pour les libéraux.
Dernières nouvelles de la WCCL !
Heure : 01 h 45 CET
Auteur : saviorofzeworld@neuf.fr
Etat d'esprit : Anxieux
La recrudescence annoncée de l'ECD a causé un véritable vent de panique chez les libéraux. Encore une fois, la WCCL (World Commission for Classical Liberalism) recommande à tous les libéraux français la plus grande vigilance. Il se pourrait bien que ce soit plus de 8 cas d'ECD qu'il faille comptabiliser.
Dans un souci de prévention, le risque s'étant révélé bien avéré, notre Consultant Senior, John Smith a fait le tour des blogs pour avertir les bloggers libéraux des risques qu'ils encouraient. Afin d'informer les internautes, la WCCL a mis un label 100% libéral en place.
Cette initiative n'a pas été du goût de tout le monde, aussi, certaines réactions ont été plus que violentes. C'est le cas sur des forums tels que les Pères Fondateurs qui se sentent agressés par le sous-titre du label "Liste sans conservateurs" et c'est aussi le cas du forum "Libéraux.org" pour la raison qu'ils trouvent la démarche de labelliser, constructiviste.
Nous ne saurions rappeler à tous ces libéraux que l'objectif de la WCCL est de défendre le libéralisme partout où il se trouve dans le monde en prévenant les crises d'ECD ou d'ECG et non de leur casser les pieds. C'est ainsi que notre commission a décidé de porter un temps son dévolu sur les élections internes d'AL. Afin de rassurer tous les libéraux, il est clair que si une crise d'ECG (Encéphalite Conservatrice Gauchiste) venait à se déclarer, la WCCL interviendrait avec les mêmes moyens.
Nous rappellerons tout de même au passage la définition du terme conservateur :
"Terme dérivé du latin conservare et appliqué aux mouvements politiques et intellectuels qui ont pour but la conservation de l'ordre social existant ou le rétablissement d'un ordre antérieur, ordre fondé à leurs yeux sur des lois naturelles ou sur des données transcendantes. Les conservateurs considèrent avec un certain scepticisme les innovations sociales et lesgrandes théories abstraites. Mouvement d'opposition au libéralisme et au radicalisme , issu de la résistance aux idées des Lumières et de la Révolution française."
Nous comprenons tout à fait que certains grands libéraux de renoms soient choqués par le fait qu'on ose leur demander de passer un test, (ainsi, Monsieur Caccomo s'étonne: "WCCL, vous voulez me faire passer un test pour vérifier mon degré de pureté libérale ? Décidément, les choses ne s'arrangent pas à AL. Vous devriez passer un test de QI." # posted by Caccomo : 12:27 PM Jean-Louis,) mais comme nous l'avons bien spécifié, aucun libéral n'est à l'abri de ce virus. Si un libéral, apparemment intègre comme monsieur Véron est capable de dire qu'il veut faire un parti de droite avant de faire un parti libéral, alors c'est que le mal peut se mettre partout.
Outre le fait que la WCCL ait attribué son label à Sabine Herold et à toute son équipe qui lutte pour le libéralisme authentique, notre commission tient à féliciter Edouard Fillias pour son civisme et sa promptitude à agir contre la propagation de la maladie en prévenant ses amis libéraux. Elle félicite également messieurs Emmanuel Prost, Landry Thomazo, Guillaume Vares, Mathieu Longobardi , Yves Delbèque, Vincent Bénard et tous ceux qui ont bien voulu se prêter aux tests.
Nous remercions également Alain Généstine pour avoir retrouvé un texte que nous vous invitons à lire sur ce qui s'est passé chez Alain Madelin quand il a été touché par l'ECD.
Nous mettrons prochainement en ligne un test afin que vous puissiez vérifier par vous-mêmes si vous n'êtes pas guetté par une encéphalite conservatrice, de droite ou de gauche, ainsi qu'une liste de mesures de précautions. Car comme on le voit, dans certains cas exceptionnel, cela peut même arriver de passer d'une ECG à une ECD.
Enfin demain, s'il ne change pas d'avis, nous publierons les propos d'un témoin qui nous racontera comment il est passé à deux doigts de se laisser contaminer.
Soutenir la Commission Electorale face à des tentatives de bourrage d'urnes
Voici ci-dessous le message que Vincent Mauricard, Président de la Commission Electorale d'Alternative Libérale, vient d'envoyer aux responsables et élus de notre parti.
Je lui apporte tout mon soutien. Cette tentative de coup de force orchestrée par Aurélien Véron est indigne.
Je vous invite à soutenir publiquement Vincent Mauricard, dont le travail pour AL a toujours été d'une totale efficacité et intégrité.
La démocratie interne baffouée
Chers adhérents, Chers responsables,
J’ai appris, hier soir, que Aurélien Véron, abusant de son statut de président, retirait à la Commission électorale son mandat pour organiser et contrôler l’élection du Bureau qui se déroulera le 5 mars prochain.
Cette mesure arbitraire et illicite fait suite à la décision n° 2008-02-02 de la Commission électorale qui s’est déclarée incompétente pour modifier les conditions retenues par le Bureau pour être électeur lors de l’élection du 5 mars prochain.
En effet, compte tenu de la crise sans précédent que connaît notre jeune mouvement, le Bureau a arrêté des règles électorales sages pour l’élection du nouveau Bureau : tous les adhérents de 2007, ainsi les nouveaux adhérents à jour de cotisation au 5 février 2008 (jour de la convocation des nouvelles élections) pourront prendre part au vote. Cette décision a pour vocation de permettre à un maximum d’adhérents de voter et d’éviter que les candidats n’entreprennent une course aux adhésions de complaisance dans les derniers jours précédant le scrutin.
La décision de la Commission électorale, qui est pourtant conforme à nos statuts et à notre règlement intérieur, n’a pas satisfait notre Président qui espérait ainsi pouvoir obtenir un blanc-seing lui permettant de modifier des règles qu’il avait pourtant acceptées depuis le 5 février.
Aurélien Véron a donc décidé de convoquer le Comité d’orientation afin de nommer une nouvelle Commission électorale composée de ses fidèles qui seront prêts à céder à toutes ses volontés afin de pouvoir assurer son élection.
La Commission électorale que je préside a toujours fait preuve d’impartialité, de probité et de neutralité. Les décisions prises ont toujours été conformes à nos statuts et à notre règlement intérieur. Aucune des élections que j’ai eu à organiser en tant que président n’a fait l’objet de réclamation.
Je proteste vivement contre le coup de force d’Aurélien Véron et de ceux qui le soutiennent dans sa volonté de truquer l’élection du Bureau. La Commission électorale exerce sa mission en totale indépendance dès lors qu’elle est désignée. Elle est la seule autorité compétente pour organiser nos élections internes. Aucune structure de notre mouvement ne peut intervenir pour lui retirer son mandat et décider de nouvelles règles électorales.
L’heure est grave. Il ne s’agit plus de choisir entre deux listes de candidats, entre Aurélien Véron et Sabine Herold. Il s’agit de préserver notre démocratie interne. Quelles que soient nos opinions politiques, nous devons nous opposer à toutes manœuvres anti-démocratiques.
J’appelle donc tous les responsables et adhérents d’Alternative Libérale à résister à ce coup de force afin de garantir le processus démocratique de l’élection du Bureau.
Vincent Mauricard
Président de la Commission Electorale
BESOIN de LUMIERES
Source Le Nouvel Observateur, la Chronique de Jacques Julliard
Je relis un texte sur le siècle des Lumières et je voulais vous le faire partager.
Science, raison, liberté de conscience, progrès sont les valeurs du siècle des Lumières.
Ces valeurs ont remplacé celles de l’Ancien Régime : la hiérarchie, la discipline, l’ordre, l’autorité et les dogmes.
Si Voltaire est la figure du siècle des Lumières, Rousseau a inspiré nos pensées modernes :
Toutes nos névroses contemporaines prennent leur source dans son œuvre : l’adolescent et la pédagogie ; les intellectuels et la sincérité ; la démocratie et l’égalité ; l’individualisme et la recherche du bonheur. Et même l’idée du progrès qu’il introduit dans le deuxième « Discours ».
Que reste-il aujourd’hui de cette avancée philosophique ?
Qu’est-ce qui nous domine ?
Le progrès, oui mais lequel et pour qui ? pourquoi ?
La raison oui, si on l’entend par opposition à l’intuition, ( ou cerveau gauche ), mais trop de raison ne nuit-elle pas à la raison ?
Liberté de conscience, celle-ci n’en est qu’ à son balbutiement,
Et la science n’en parlons pas elle a raison de tout , du progrès, et même de notre liberté de conscience !
C’est bien, nous avons avancé mais ce n’est pas suffisant, le déséquilibre est manifeste, terrifiant parfois…
Il est où le temps où les lumières plaçaient l’homme au centre de l’univers.
Loin d’être un anéantissement spirituel, qui réduirait l’homme à un être égotique, il en va de son évolution « connais toi toi-même et tu connaîtras les Dieux » nous dit Socrate que l’homme parle à l’homme.
Et cette démarche nous engage dans un processus d’évolution qui passe par l’homme pour aller à l’Autre……. A chacun de définir l’Autre.
« Ose penser » ordonne Kant et celui d’ajouter « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ».
Que ce soit au XVIII éme siècle comme au XXI ème siècle, il faut oser penser par soi-même, donc pour cela se sentir libre, aimer la Liberté, vivre sa liberté ;
Et oui il faut du courage à toutes les époques. Aujourd’hui aussi il est difficile de faire tomber les ombres qui planent dans nos esprits pollués.
On ne sait plus quoi penser, les gens de gauche, de droite, quelles différences ? Et oui vous avez raison, pour la plupart ils ne pensent pas par eux mêmes. Leur égo, leur système cognitif est devenu complexe, perverti par le pouvoir ou la recherche du pouvoir qu’ils ont dénaturé leur soi .
Revenez à vous vous trouverez toutes les réponses, la justice, le sens du bon et du vrai, la beauté et le partage, le respect des autres, et de soi, les valeurs à vivre que nous méritons tous.
Montesquieu disait : tout homme qui est censé avoir l’âme libre doit être gouverné par lui même » ……….le Dalai Lama dit « Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs » Ce qui est la même chose, le changement est en vous et les valeurs sont celles qui vous gouvernent….A méditer
Bizarre de faire de la politique et de parler avec son cœur ? Non car tout le système économique dominant que nous avons mis en place dans le monde, la capitalisme en l’occurrence est là pour nous éveiller à la nécessité du partage. Enrichissons nous, mais n’oublions pas l’autre. C’est à ce prix que le système s’équilibre. « Charité bien ordonné commence par soi-même. Principe libéral s’il en est.
lundi 25 février 2008
Un soutien pour Sabine de poids, l'ex mandataire de A. Madelin
Mandataire d’Alain Madelin en Moselle pendant la dernière campagne présidentielle , j’ai pu mesuré a quel point le contact de terrain et la communication étaient importants dans la campagne électorale.
Les meilleures idées du monde, si elles sont mal communiquées, ne servent à rien.
Sabine qui a déjà derrière elle une bonne expérience des médias me semble être la personne la mieux à même au sein d’Alternative Libérale pour porter notre message.
Dans un petit parti comme le nôtre le Porte parole doit être le Président.
Sabine à toutes les qualités pour remplir ce rôle : caractère, charisme politique et vision.
Le courant libéral qui s’impose partout dans le monde, possède une grande marge de progression en France.
Sabine portera le projet libéral dans la France du XXI ème siècle avec efficacité.
Je lui apporte tout mon soutien
Christian Braga
Responsable du comité Tocqueville Moselle
Candidat aux élections municipales à Metz
pensée du jour
Voici quelques données qui accréditent la pensée non relativiste de notre physicien.
Dans un rapport du coprésident de Greenpeace et président de la commission britannique du développement durable on pouvait lire l'injonction suivante"The global benefits of eating less Meat".
Le magasine" l'Etat de la Planète" publie aussi un rapport sur les conséquences environnementales de la consommation de viande.
"Que cela vous plaise ou non, le fait de manger de la viande devient un problème pour nous tous sur la planète"
la consommation de viande et de produits laitiers a quadruplé en 4 décennies et la Banque Mondiale prédit qu'elle augmentera encore de 50 % d'ici 2010.
il y a deux fois plus de poulets que d'humains sur la planète, plus d'un milliards de porcs, 1,4 milliards de bovins et 1,8 milliards d'ovins, qui mangent plus d'aliments qu'ils n'en produisent.
Compte tenu de la population mondiale, la demande globale de viande a été multiplié par 5!
Il faut 1 000 000 litres d'eau pour produire 1 KG de viande de boeuf, alors que 1000 à 2000 litres suffisent pour produire 1 KG de Blé, riz ou soja.
1,4 milliards de bovins çà tient de la place, et puis çà mange... alors on a commencé par coupé des arbres, de plus en plus de forêts, mais les forêts sont les poumons de la terre, elles absorbent le Co², les forêts abritent les animaux, leur écosystèmes, régulent le climat...
"Au cours des trente dernières année, notre façon de vivre a fait plus mal à la planète que depuis que l'homme existe sur la terre"
Plus de mal en trente ans que depuis des dizaines et des dizaines de milliers d'années!
Nous avons vécu d'une telle façon que nous avons rendu l'air irrespirable, l'eau imbuable et la terre qui nous nourrit de plus en plus toxique... et tout ceci, en partie, à cause de notre alimentation.
le rapport sur l'Etat de la planète" étudie point par point les zones d'alerte écologique en rapport
avec l'élevage intensif et la consommation de la viande : déforestation, érosion, pénuries d'eau potable, changement climatique, diffusion de maladies.
DEFORESTATION
Les forêts tropicales humides abritent quelque 50% de la biodiversité de la planète. Depuis 1970 plus de 20 Millions d'hectares de forêt tropicale ont été détruites, pour faire place à des pâturages pour les ruminants, et chaque boulette de viande pour hamburger fait disparaître 5m² de forêt.
à suivre......
info sur les prix de quoi se libérer l'esprit
par Avec AFP
Mondiale, la hausse des prix des denrées alimentaires s'explique notamment par la demande croissante des pays émergeants et la vogue des biocarburants.
Aucun pays n’échappe à la hausse des prix alimentaires. Selon l’indice de la FAO, l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui mesure leur évolution dans le monde entier, ils se sont envolés de près de 40% l’an dernier.
Champion de la hausse : le blé. Depuis le 1er janvier 2006, son cours a flambé de 287% sur les marchés des matières premières. Les cours du maïs et du café ont pris respectivement 149% et 139%, celui du soja 129%, tandis que les prix du riz ont grimpé de 60%.
Commencé il y a deux ans, c’est « un phénomène qui s’est accéléré en 2007 », observe Chris Lupoli, stratège inflation chez UBS. Les explications de cet emballement sont multiples.
En premier lieu joue le changement de mode de vie dans les pays émergents, au premier rang desquels se trouve la Chine. Plus riches, leurs populations adoptent une alimentation plus carnée. Cela nécessite plus de bétails, donc plus de maïs, de blé et de soja pour les nourrir et davantage de surfaces cultivées.
Autre facteur clé : la vogue des biocarburants. Les céréales et les oléagineux ont été présentés comme un nouvel « or vert », capable de remplacer l’essence ou le diesel, et lutter ainsi contre le réchauffement climatique. Mais la production massive de bioéthanol ou de biodiésel fait concurrence à une utilisation alimentaire de ces ressources. Et tire les prix vers le haut.
A ces raisons s’ajoutent d’autres, plus conjoncturelles, comme les caprices de la météo. La violente sécheresse en Australie, l’année dernière, a conduit à une mauvaise récolte de blé, avivant un peu plus la hausse des cours. De même en Europe, une mauvaise anticipation de la politique agricole commune (PAC) a conduit à réduire les surfaces cultivables, car les autorités tablaient sur une baisse de la demande. Il s’agit aujourd’hui de faire machine arrière.
Enfin, en période d’incertitude économique, les matières premières sont devenues des valeurs refuge pour les investisseurs. Leur arrivée sur ces marchés, pour se couvrir d’éventuelles déconvenues de leurs autres actifs, est un facteur supplémentaire de hausse des cours. C’est le cas notamment pour le pétrole. Cela vaut aussi, désormais, pour les denrées alimentaires.
Cette hausse des prix alimentaires va-t-elle cesser ? Au contraire, il s’agit d’un « problème structurel qui va durer », estime Chris Lupoli. Un avis partagé par Thierry Lefrançois, analyste matières premières chez Natixis. Sauf à « augmenter les surfaces agricoles », remarque-t-il, une baisse des cours paraît improbable. Or la hausse des surfaces cultivées ne peut aller au-delà de la mise en culture des jachères. Quant à voir la population chinoise revenir à une alimentation exclusivement à base de riz…
http://www.lexpress.fr:80/info/economie/infojour/infos.asp?id=145143
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Pourquoi moi aussi je choisis Sabine
Je ne suis issu d'aucun courant. J'ai 20 ans et si j'ai rejoint Alternative Libérale, c'est parce que ce parti défend ce que même plus jeune je soutenais intuitivement ; plutôt "de droite" économiquement, et "de gauche" sur le plan des libertés individuelles pendant mon lycée, j'ai appris bien plus tard et farfouinant sur Internet que mes idées étaient tout simplement libérales. C'est pourquoi, n'ayant jamais senti de véritable accointance avec aucun parti politique avant AL, je vois d'un mauvais oeil les alliances que certains croient "inévitables" ou "naturelles" avec la droite ou le centre-droit. Comment communiquer les idées libérales sur le terrain, comment expliquer que Sarkozy et l'UMP ne sont pas libéraux, si d'une autre main on copine avec leurs soutiens ? Je ne crois pas non plus aux alliances avec le MODEM dont la figure de proue sert de commandant suprême tout autant que d'étendard, dont le discours est aujourd'hui invisible en dehors d'un "ni-droite ni-gauche mais bon quand même la droite c'est pas super", et dont on a vu que le soutien mou au moment des présidentielles avait été une erreur qui a coûté à AL de nombreux adhérents.
Je suis vraiment attéré par les propos de certains qui fustigent ceux qui se refusent à une alliance avec le centre-droit en les traitant de "fumeurs de joints". Les réformes économiques sont capitales, mais pour bâtir un programme cohérent il est nécessaire de prendre position ouvertement et de manière véhémente sur tous les terrains. Nous avons vus ce qu'un Libéralisme défendu d'un point de vue purement économique donnait au final : une absorbtion pure et simple dans le gros monstre de la droite, au seul prix du silence total. Et cette absorbtion et ce silence, qu'ont-ils donnés aujourd'hui ? On ne sait même plus ce que fait Madelin.
Alternative Libérale est une expérience unique en France, qui a les moyens de convaincre les libéraux qui s'ignorent, probablement très nombreux, que le libéralisme n'est pas une doctrine économique mais une véritable philosophie, un champion de logique, de réalisme, et de cohérence. Et pour réussir à diffuser nos idées, nous avons besoin d'une image claire et avenante, de passages médias nombreux qui font part belle à toutes nos idées. Sabine, quoiqu'en disent ceux qui soutiennent Aurélien, n'a peut-être pas le discours aggressif et rouspéteur que peuvent avoir certains, ne parcoure peut-être pas de la même profondeur les complexes mécanismes économiques lors de ses passages médias, mais touche avec un discours simple ceux qui sont à convaincre, et non ceux qui sont déjà convaincus. Si celà ne va pas sans quelques défauts d'image (notamment la communication sur Thatcher qui n'a qu'une image positive à l'étranger, restant ici la vieille peau conservatrice qui laisse les pauvres crever), il est clair que c'est préférable au discours complexe et nébuleux, technique et hermétique, purement économique, d'un Aurélien Véron.
C'est pourquoi après mûres réflexion, j'ai décidé que Sabine aurait mon vote lors des élections internes. En espérant que cette crise interne en voie de résolution laisse très vite place à l'action pour les municipales où nous avons déjà accumulé beaucoup de retard...
Mathieu Michaud.
samedi 23 février 2008
Alternative - Libérale deviendrait-elle conservatrice ou tentée de l'être ? Non, heureusement l'histoire devrait nous faire réfléchir. Propos de Franç
Avril 2002, c'est parfois nécessaire de remonter le temps, surtout avec les conservateurs (voire ceux qui se sont alliés par conviction seulement anti-communiste, mais rien de libéral, voilà de nos jours le fond du problème, aussi noble soit-il) Alain
Pour cette élection, le principal atout que Madelin s'était donné était d'avoir développé un programme d'action précis sur ce qu'il ferait quand il serait au pouvoir. Alain Madelin a pu au cours de la campagne montrer comme ses idées étaient réalistes et pratiques; mais comme il était visiblement le seul des candidats qui semble avoir sérieusement réfléchi à la chose, ses propos semblaient hors-sujet dans le reste de la campagne électorale.
Cependant, le point clef est que son programme reposait tacitement sur les idées et valeurs libérales comme seules justifications; or, Alain Madelin, par un choix tactique, de peur d'être impopulaire, s'est refusé à exposer ou argumenter en public ces idées et valeurs libérales, au point d'éviter systématiquement l'emploi même du mot « libéral » en public. C'était là la méthode idéale pour convaincre les convaincus, et ne convaincre qu'eux. On a vu qu'ils étaient peu nombreux.
Cette renonciation à défendre ouvertement les idées libérales est caractéristique de la stratégie d'Alain Madelin, depuis toujours: l'alliance avec les conservateurs et l'évitement du débat d'idées. Depuis plus de vingt ans, Madelin a décidé de jouer le jeu du clivage gauche/droite et de pencher à droite, alors même que le libéralisme par essence ne se place pas sur cet axe, mais en haut de l'axe libertaire/autoritaire sur le losange politique.
Dans cette alliance contre-nature entre le libéralisme et son ennemi historique originel qu'est le conservatisme protectionniste, Madelin a cherché à ne pas trop se compromettre; il a même tenu à préserver son honneur privé (pour ne pas dire son amour propre), en préférant démissionner que d'appliquer une politique complètement contraire à ses idées. Mais il n'en a pas moins accepté d'avaler moult couleuvres, et de n'avoir d'opposition aux conservateurs que mezzo voce.
Cette soumission, il a accepté de s'y plier à nouveau à l'occasion de la récolte des fameuses 500 signatures nécessaires à sa candidature. Or les électeurs ne sont même pas au courant de son futile honneur privé, geste d'un moment qu'il n'a jamais osé exploiter médiatiquement; ils ne voient que son allégeance publique indéfectible envers les partis conservateurs.
Alain Madelin semble craindre l'isolement et l'impopularité, plus qu'il ne souhaite l'avancement de ses idées. Il a peur d'effrayer ses alliés et la moitié de ses troupes en étant radical. Il a peur de traverser le désert, et accepte donc le joug de l'opinion et les humiliations de ses alliés de circonstances. C'est ce sentiment négatif, cette peur, qui l'empêche de se lancer dans le débat d'idées. Et c'est ainsi qu'il abandonne la seule chose qui puisse donner de la valeur à son combat, qui est aussi la seule chose qui aurait jamais pu lui valoir l'estime du public: la dignité de défendre ses idées. Car il ne faut pas prendre les électeurs français pour des c..., cela, ils ne le pardonnent pas. Ils savent estimer une personne franche et courageuse (Arlette), même quand ils ne partagent pas vraiment ses idées dont ils savent qu'elles ne tiennent pas la route. Ils n'estimeront jamais une personne qui n'ose pas défendre ses idées au grand jour.
Frédéric Bastiat, un auteur que Madelin connaît et admire, faisait campagne, pour un autre ou pour lui-même, à toutes les élections qu'il pouvait, depuis 1830. Cependant il ne le faisait pas dans l'espoir d'être élu, il le faisait pour promouvoir ses idées. Ses campagnes ne consistaient pas en de la propagande démagogique, des promesses électorales, des effets de marketing; elles étaient au contraire, un énoncé clair de ses convictions, un éclaircissement des principaux malentendus concernant ses idées et son engagement
Son espoir n'était pas de se faire élir d'abord par la démagogie, pour appliquer une fois élu un plan secret conforme à ses idées; il était de faire connaître et partager ses idées et ses valeurs. Inlassablement, et surtout après qu'il commençât à acquérir une certaine notoriété en 1844, Bastiat écrivit, publia, pour défendre ses idées, débattant par presse interposée avec les protectionnistes et collectivistes les plus en vue de l'époque, donnant des conférences dans tout le pays pour faire avancer la cause qui était la sienne.
S'il avait peu de succès et d'audience au début, sa ténacité et sa constance portèrent leurs fruits, puisque Bastiat fut finalement élu à l'Assemblée en 1848 et en 1849. Parlementaire, il ne s'assit pas plus parmi les protectionnistes que parmi les collectivistes, et siégea donc à gauche, la majorité étant conservatrice. Il ne vota jamais par alliance électorale, mais toujours selon ses idées. Sa carrière fut malheureusement interrompue par sa mauvaise santé et son décès prématuré en 1850
La carrière de Bastiat démontre qu'il est possible de faire avancer ses idées en faisant campagne politique. Mais pour cela, il faut savoir renoncer à l'espoir de victoires électorales à court terme, et travailler sur le long terme: 15, 20 ans. Il faut savoir défendre des idées justes mais impopulaires, pendant longtemps, jusqu'à ce qu'elles aient fait leur chemin dans la tête des citoyens électeurs. Les victoires à court terme sont impossibles de toute façon, et les moyens qu'on consentirait à user pour les obtenir auront des effets secondaires terriblement néfastes, qui corrompraient tout succès superficiel en un profond désastre.
Madelin, au contraire, a choisi la voie du compromis soi-disant réaliste; reconduisant d'année en année des alliances tactiques à court terme, il n'a trouvé que la voie de la compromission. En refusant de diffuser ses idées et les faire avancer, il croit qu'il sera plus facile de réaliser leurs conséquences, mais il se leurre, car les électeurs rejettent et rejetteront toujours ces conséquences qui vont contre leurs préjugés, et dont il refuse de défendre les seules justifications sur le plan des principes. Il croit se prémunir contre la défaite, il ne fait que l'accélerer, la rendre plus complète. Il croit faire de la realpolitik, il ne fait que perdre son âme. Madelin est un Lorrenzaccio qui n'aurait même pas tué Alexandre. Ne le plaignons pas d'avoir raté; plaignons-le d'avoir essayé.
propos partiels par Faré source QL (Libertariens-anarcho-capitaliste)
vendredi 22 février 2008
Vu sur la blogo d'AL le site WCCL
Heure : 00 h 02 CET
Auteur : saviorofzeworld@neuf.fr
Etat d'esprit : Anxieux
8 nouveaux cas d'ECD (encéphalite conservatrice droitière) viennent d'être détectés en France par la WCCL (World Commission for Classical Liberalism).
Cette dépêche jette comme un froid dans le petit monde libéral. En effet, ces derniers temps, on avait quelques soupçons sur l'état de santé du président d'Alternative Libérale, à la suite de la démission de 4 membres du bureau qui avaient dénoncé un comportement bizarre du président nouvellement nommé: absence de prise de décision, hésitation à participer à des actions de rue, difficulté à valider le communiqué pour dénoncer le comportement de Sarkozy qui félicite Poutine, etc, etc... Tous des symptômes qui laissaient à penser la présence de la bactérie de l'encéphalite conservatrice avait commencé à faire son oeuvre... Ces soupçons sont désormais vérifiés. En effet après la publication du programme et de la liste d'Aurélien Véron pour le bureau, il apparaît bien que les 8 membres sélectionnés sont tous atteints d'encéphalite conservatrice droitière. Malgré un discours de façade qui cherche à maquiller la présence de la maladie, les spécialistes sont formels sur la présence d'une pathologie grave.
Aujourd'hui, c'est tout le petit monde libéral qui est touché car, après l'épidémie qui avait frappé DL en 2002, de vie de libéral français, on ne pensait plus jamais revivre cela. Face à la situation d'extrême urgence la WCCL a dépêché une équipe de sauveteurs pour vérifier si d'autres membres du parti étaient touchés. Heureusement, dans la liste sanitaire constituée d'urgence par Sabine Herold pour faire face au risque de contagion, on n'a pas pu détecter de cas d'encéphalite conservatrice... Aussi, on apprenait sur le blog du responsable presse du parti ce matin que la WCCL avait décerné le label 100% libéral à Sabine.
Nous journalistes et nos spécialistes sont sur le terrain et ils vous tiendront informé de l'évolution de la situation chaque jour.
Auteur : saviorofzeworld@... Afficher cette entrée | Ajouter et commenter cette entrée dans votre blog
Alternative Libérale: Sabine pour "Un programme pour avancer"
La liste ! tout un programme.
Un programme pour avancer.
Avançons Ensemble pour la Liberté, la Liberté fera le reste.
Un programme pour avancer
Election du Bureau National, 5 mars 2008
www.sabine-herold.fr
Le parti pris de la Liberté
d'adhérer, traverse une période agitée. Plusieurs membres
du bureau ont décidé de démissionner pour exprimer leur
opposition à la stratégie du président sortant. De nouvelles
élections auront donc lieu le 5 mars pour vous permettre de choisir une
direction renouvelée pour Alternative Libérale.
Je suis profondément attristée de cette situation : nous ferions mieux
d'utiliser notre temps à convaincre les Français, toujours plus sensibles à nos
idées, de nous rejoindre. En même temps, cette dissension qui provoque des
élections est l'expression d'une vraie divergence stratégique. Voulons-nous
un parti réellement indépendant, loin des errements d'une droite et d'une
gauche toutes deux interventionnistes, assumant ainsi parfaitement la
cohérence et la force des idées libérales ? Ou bien souhaitons-nous, comme le
propose le président sortant contre l'avis de tous les membres de son ancien
bureau, nous ancrer à droite, comme un parti satellite de l'UMP ?
premiers pas. Je souhaite donc ardemment deux choses :
1/ La première est qu'Alternative Libérale préserve son indépendance,
précieuse. Le passé nous a démontré combien les ralliements coûtaient cher
à notre cohésion. Il est hors de question de revenir sur une position de principe
: nous ne voulons pas d'une Alternative Libérale « de droite »,
« de gauche » ou « du centre ». Nous voulons une Alternative Libérale unique,
originale, et surtout libre. Cette liberté, précieuse, fait notre force et garantit
la crédibilité de notre discours et de nos propositions. C'en est fini des
tractations de couloirs, des ralliement de la dernière heure, des calculs à
courte vue : je ne veux plus de ces jeux là !
2/ La seconde est que nous restions unis, malgré nos divergences. Notre
parti est de plus en plus connu, nous sommes régulièrement invités dans les
médias et notre nombre d'adhérents augmente. C'est le signe, entre autres,
que la rupture promise par le Président de la République est toujours
introuvable : nos propositions et notre radicalité en sortent renforcées et nous
attirent une sympathie toujours plus grande.
Dans ce contexte, nous avons besoin de toutes les énergies. Nos voiles sont
gonflées, alors mobilisons tout l'équipage !
Avec ces objectifs clairs, j'ai décidé de prendre mes responsabilités et de
me présenter à la Présidence d'Alternative Libérale. Si je suis élue, je
rassemblerai tout le parti. Je crois pouvoir le faire, car je n'ai à aucun moment
été mêlée aux différends du précédent bureau. Je connais personnellement
tous les dirigeants d'AL et peux vous garantir la valeur et la sincérité de leur
engagement : je ne demande qu'à être le trait d'union qui nous liera tous dans
l'action.
Si vous m'élisez, je préserverai jalousement l'indépendance d'Alternative
Libérale. Mon programme tient en réalité en deux mots : indépendance et
unité. Sur ces deux bases, nous continuerons à construire ensemble le
mouvement politique libéral dont la France a tant besoin, et qui pèsera
lourd dans les prochaines années.
Cofondatrice de l'association Liberté Chérie, j'ai montré ma capacité à
organiser des événements (comme la manifestation de juin 2003). Membre
fondateur d'Alternative Libérale, j'ai successivement piloté les pôles
ère recrutement et communication sur Internet avant d'être élue 1 Conseillère
par 75% des suffrages de notre Conseil National.
J'ai également convaincu de nombreux donateurs de nous apporter leur
soutien financier. Dans mon métier de consultante en levée de fonds, je
travaille en permanence avec des chefs d'entreprises : je connais la réalité du
tissu économique français.
Je suis, enfin, la principale porte-parole de notre mouvement. Certes, porteparole
n'est pas Présidente : mais j'espère avoir gagné votre confiance en
portant notre message sur toutes les radios, télévisions et journaux, ces deux
dernières années. J'ai, en outre, représenté notre parti à l'étranger :
rencontres avec José-Manuel Barrosso ou José-Maria Aznar ainsi que des
conférences au sein de plusieurs think-tanks, aux Etats-Unis et en Europe,
comme la Société du Mont Pélerin, le Cato Institute ou encore l'Institut
Constant de Rebecque.
Avec des colistiers de talent, je vous propose de développer un grand parti
libéral dans notre pays. Je me présente à vous avec le soutien d'une équipe
soudée et motivée, à la fois expérimentée et complémentaire, qui saura
m'aider à implanter durablement AL dans le paysage politique français et
européen. Vous trouverez une présentation de chacun d’eux dans ce courrier
et je vous invite à découvrir leurs professions de foi sur mon blog :
www.sabine-herold.fr
Voter pour notre équipe, c'est faire le choix de l'unité d'Alternative Libérale et
de l'indépendance.
Comme vous pourrez le découvrir dans le document joint à ce courrier, mon
projet pour Alternative Libérale est un projet ambitieux. Il vise à rendre plus
efficace et transparente notre organisation interne pour permettre le
développement de nos comités locaux et de notre nombre d'adhérents afin
de préparer aux mieux les prochaines échéances électorales, à commencer
par les élections européennes de 2009. Je vous promets que nous serons
présents à ces élections pour gagner des voix en nombre à notre cause et, je
l'espère, des élus.
L'enjeu est de taille pour l'avenir de notre jeune parti. Je compte sur votre
soutien pour m'aider à faire d'Alternative Libérale un véritable succès au
service de nos convictions libérales.
Porte-parole d’Alternative Libérale
Candidate à la présidence du Bureau National
renvoyant le document ci-joint avant le 1 mars, voter sur l'Intranet
d'Alternative Libérale ( https://intranet.alternative-liberale.fr) entre le 1 et le
5 mars, ou voter au siège d'Alternative Libérale le 5 mars de 18h à 20h.
Notre Mission
Nous souhaitons qu’Alternative Libérale devienne un grand parti libéral
indépendant. Notre programme, au-delà des objectifs et des moyens, peut
être résumé en deux mots : unité et indépendance. Ces deux vertus nous
rendront forts et audibles.
Nous souhaitons revenir à l'esprit de notre manifeste fondateur. En tête de
notre site Internet vous pouvez trouver cette phrase qui résume si
parfaitement ce que doit être notre parti :
« Ni socialistes, ni conservateurs, les libéraux expriment une troisième
dimension de la vie politique. Il est temps qu'elle ait sa voix en France, sans
caricature ni compromission. ».
Si notre liste est élue pour diriger Alternative Libérale, nous nous engageons
à ce qu'Alternative Libérale reste un parti indépendant, indépendant de tous
les conservatismes, qu'ils soient de droite ou de gauche.
Il ne s'agit pas seulement d'une figure de style, mais bien d'une demande
profonde et sincère qui émane de ceux qui ont créé Alternative Libérale, puis
de ceux qui ont rejoint notre projet.
Notre objectif est de réussir là où nos voisins allemands et irlandais, avec les
Progressive Democrats ou le FDP nous ont démontré qu'il y avait une chance :
donner à notre pays un grand parti libéral.
Cette oeuvre n'est pas l’affaire de quelques mois, mais plutôt d'années voire de
décennies. Pour constituer le capital de crédibilité que nous voulons, auprès de
la population française, et atteindre un poids électoral efficace, il nous faudra
beaucoup convaincre, rester fidèles à nos idées et faire preuve de patience.
Trois objectifs prioritaires
Alternative Libérale a fait ses premiers pas. Il s'agit désormais d'ancrer les
fondations et de développer notre mouvement. Nous voulons, avant toutes
considérations électorales, réunir les conditions du succès : une plate-forme
forte de soutiens dans le pays, autour d'Alternative Libérale.
Pour faire grandir notre mouvement, nous devons poursuivre trois objectifs
en priorité : développer le nombre d’adhésions, accroître la notoriété du parti
et de ses idées et, enfin, toucher le coeur de plus nombreux sympathisants et
“relais d'opinions” dans toutes les strates de la société.
Travailler à ces objectifs, c'est garantir de réelles chances de succès aux
candidats que nous présenterons aux futures échéances, à commencer par les
élections européennes et régionales de 2009 et 2010. Nous lancer dans les
batailles électorales, oui, mais avec une solide base- arrière de soutiens !
1 - Rassembler les Libéraux
Pour gagner et garder ses adhérents, Alternative Libérale doit être une force
de rassemblement des libéraux.
Pour réussir ce rassemblement, nous vous proposons la construction d'un
parti démocratique, avec une large liberté d'action sur le terrain pour ses
représentants et une forte cohésion nationale.
Chaque adhérent et militant doit se sentir écouté, respecté et fort dans notre
parti, car nous avons besoin de l'énergie de tous, de chaque talent.
Nous nous fixons un objectif ambitieux : devenir un parti de 5 000 adhérents
d'ici 2010, soit être au moins cinq fois plus nombreux qu'à ce jour.
Pour réussir le rassemblement, nous nous engageons sur trois idées simples :
rejoints par une équipe plus large, organisée en pôles opérationnels,
de vingt membres au moins. Quatre d’entre eux se consacreront
essentiellement à l'organisation du débat au sein du parti, à l'écoute
des adhérents et au soutien des comités.
- Nos statuts permettent un contrôle de l'action du bureau par le
Conseil National. Nous nous engageons à travailler en étroite
collaboration avec ses élus, représentants de l’ensemble du parti.
- Enfin, 40 % du budget sera dévolu aux comités locaux, pour leurs
actions locales. La liberté n'est pas qu'un mot, elle demande aussi des
moyens : les comités, relais d'AL sur le terrain, doivent être libres
d'agir vite et bien : réunions publiques, tractages...
2 - Occuper l'espace médiatique
Pour gagner en notoriété, nous devons occuper l'espace médiatique avec
nos propositions. Ainsi nous créerons un lien avec les Français.
A chaque fois que cela sera possible et utile, nous vous proposons de prendre
vigoureusement la parole. Lancement d'évènements, actions de presse,
actions militantes : par tous les moyens, nous devons nous faire connaître de
l'opinion publique. Cette notoriété seule nous permettra de conquérir les
sympathies et adhésions dont nous avons besoin. Nous devons être visibles :
le respect et la crédibilité, nous les gagnerons à force de cohérence et
d'intelligence dans nos réactions à l'actualité et aux actions du gouvernement.
D'ici 2012, battons-nous pour qu'au moins la moitié des Français connaissent
notre nom, et peut-être nos idées. Cela est possible si nous sommes réactifs et
pertinents, sur tous les fronts.
Pour réussir cette stratégie, nous vous proposons de :
- Mettre en place une cellule de réactivité média, qui recevra toutes les
idées des adhérents, et mettra en musique les actions de réactivité :
communiqués, conférences de presse, actions militantes... Cette
cellule, composée de professionnels de la communication et de la
presse (tous libéraux et adhérents, évidemment), sera précieuse.
- Faire émerger des porte-parole plus nombreux : nous disposerons
ainsi de profils et spécialistes de différents sujets et pourrons mieux
répondre aux attentes des journalistes.
- Doter tous les comités locaux et fédérations d’un véritable site web,
intégré à la plate-forme nationale, à l’image des sites de nos candidats
aux élections législatives, ainsi que d’un accès à la base des adhérents
et journalistes de leur zone géographique.
3 - Nous ouvrir à la socièté civile
Pour démultiplier les sympathies et les relais d'opinions favorables à AL,
nous devons nous tourner vers tous les acteurs de la société civile.
Les sympathisants sont des relais puissants. Sans être adhérents, ils partagent
et soutiennent notre message : démultiplions-les ! Il y a de nombreuses
associations et mouvements, des chefs d'entreprises et des salariés, des
intellectuels et des journalistes, partout en France, qui partagent notre
analyse de la situation et nos objectifs politiques.
Nous pouvons les gagner à nos vues : sans adhérer, ils deviennent cependant
de précieux vecteurs et de futurs soutiens pour tous nos candidats.
- Nous voulons développer des partenariats avec l’ensemble des
associations, think-tanks et mouvements proches de nos idées et
investis dans la défense des libertés. Ils pourront être de toute nature :
événements organisés ensemble, publications avec des personnalités
de notre parti, prise de positions collectives lors de conférences de
presse ou à l’occasion de pétitions...
Ce travail, déjà entamé par les équipes précédentes, doit être
amplifié, et ce sur tout le territoire.
- Nous voulons relancer le projet de télévision sur Internet initié l’année
dernière afin de diffuser nos positions auprès du grand public et pas
seulement de nos sympathisants. Ce média sera un support idéal pour
diffuser librement nos messages, donner la parole à tous nos alliés,
générer des débats et réagir à l'actualité.
La route vers le succès
Développer AL et créer un grand parti, grâce aux trois objectifs que nous
venons de définir, ne peut avoir que deux finalités :
- diffuser nos idées et nos propositions dans l’ensemble de la société,
et l'aider ainsi à évoluer vers plus de Liberté. La bataille des idées ne
s'arrête jamais et nous devons y prendre part de toutes nos forces,
pour convaincre les Français.
- obtenir des élus locaux, nationaux et européens, pour représenter
nos idées et nous permettre, in fine d’influer sur les décisions.
Nous croyons que le plus important pour notre mouvement est d'ancrer son
image, son identité et ses propositions dans le débat public, auprès de
l'opinion. Les élus viendront alors naturellement : installons-nous d'abord
comme une force crédible !
La première mission de notre nouvelle équipe sera de préparer Alternative
Libérales aux échéances européennes et régionales. Nous serons présents
devant les électeurs pour ces deux élections.
Les élections Européennes seront l'événement fort des deux années à venir : il
faut nous y préparer dès aujourd'hui si nous voulons voir des libéraux français
entrer au Parlement Européen en 2009. Le mode de scrutin proportionnel de
ces élections nous donne un espoir crédible d'y parvenir.
Mais nous n'oublions pas que nos candidats, pour être élus, doivent disposer
d'un parti solide. Nous nous emploierons à créer l'outil de leurs succès futurs.
Nous voulons un parti libéral fort, parce qu’uni et indépendant, au service des
candidats et futurs élus libéraux.
Une équipe pour construire l’avenir
Sabine Herold, 26 ans, candidate à la Présidence. Cofondatrice de
Liberté Chérie puis d’Alternative Libérale, Sabine est porte-parole et
dirige actuellement le Conseil National. Présidente du comité Paris-
16e, elle a obtenu le meilleur score d’AL aux élections législatives.
Louis-Marie Bachelot, 31 ans, consultant en biotechnologies, est
candidat pour devenir Secrétaire Général d’AL. Membre du bureau
sortant, Louis-Marie a été candidat aux législatives à Angers et sera
candidat également aux cantonales du 9 mars.
Christian Tarro-Tomà, 54 ans, ingénieur dans le secteur de l’énergie,
candidat pour devenir Trésorier. Christian a été le grand organisateur
des congrès d’Alternative Libérale à la Cigale et au Bataclan. Il a aussi
assuré le suivi logistique des candidats durant les élections législatives.
Laurence Petit, 40 ans, cadre dans l’industrie pharmaceutique, est
candidate aux municipales à Paris. Présidente d’un comité local à Paris,
elle était chargée, dans le bureau sortant, des fédérations : elle a suivi
la création des comités locaux dans toute la France.
Jean-Paul Oury, 36 ans, consultant en communication. Membre
fondateur d’AL, Jean-Paul a créé le comité local Stanislas de Nancy et
été candidat aux législatives. Responsable presse, Jean-Paul a été à
l’origine de la formidable couverture presse d’AL depuis sa création.
David Poryngier, 35 ans, consultant en marketing Internet. Membre
fondateur d’AL, David supervise notre communication depuis deux
ans. Il a conçu notre site Internet ainsi que l’essentiel de nos supports
de campagne. Il est aussi le président du comité Paris Nord.
Alain Genestine, 51 ans, est chef d’entreprise dans le secteur de
l’hébergement touristique. Président du comité Montesquieu, il était
le candidat d’Alternative Libérale aux législatives à Bordeaux. Alain est
également membre du Comité d’Orientation.
Matthieu Longobardi, 23 ans, étudiant en Génie Industriel à l’Ecole
Centrale Paris. Plume de talent, Matthieu a participé à la rédaction de
nombreux argumentaires et communiqués de presse. Il est
membre du Comité d’Orientation et du Conseil National.